A propos de la fin…

Deux livres m’ont bien tenus en haleine dernièrement, deux livres de destruction massive. L’un parle d’électricité, l’autre ne se consacre qu’à l’Internet…

Clairement, on ne serait pas très bien aujourd’hui, et sans électricité, et même juste sans Internet. Tout cela est d’un tel confort !

Sans électricité, ce serait vraiment horrible. Tout est tellement dépendant de cette énergie que l’écroulement qui suivrait un arrêt généralisé serait colossal. Quand à l’idée d’un monde de nouveau sans Internet, c’est aujourd’hui incroyablement presque impossible a imaginer…  En tout cas, ça fait peur.

On est pas dans de la grande littérature, mais on s’en fou. Quand c’est une question de vie ou de mort, on  ne fais pas de chichi. On a pas le temps: on lit pour voir si on va s’en sortir et on est content de ne pas avoir besoin de dictionnaire.

1/Black-out: Demain il sera trop tard – de Marc ELSBERG

https://www.amazon.fr/Black-Out-Marc-ELSBERG/dp/2253098698/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1518360736&sr=8-1&keywords=black+out+livre

2/ Où la lumière s’effondre – de Guillaume SIRE

https://www.amazon.fr/O%C3%B9-lumi%C3%A8re-seffondre-Guillaume-SIRE/dp/2259243282/ref=tmm_pap_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=1518360874&sr=1-1

Il n’y a pas que le Youtube français

Les français restent souvent coincés sur le Youtube Français. C’est  bien dommage, parce qu’il y a des artistes partout – ie en dehors de la France  – !

Par exemple, cette semaine, les petits pois sont devenus fans de joseph’s machine, un youtuber New Yorkais (qui a grandit en Nouvelle Zélande).

En plus avec Joseph, pas besoin de savoir parler anglais !

Je vous laisse le découvrir avec ça:

 

 

A propos des Escalator(s)

1/ La brosse qu’il y a de chaque côté au niveau des pieds:

Et non, elle ne sert pas à lustrer les chaussures !  C’est en réalité une brosse de sécurité:

Elle est là pour inciter les passagers à éloigner leurs pieds et leurs vêtements des parties dangereuses des escaliers roulants:

Mais est-ce que ça marche vraiment …?

2/ Escalator vs Escalier roulant/mécanique

L’escalier mécanique sous la forme qu’on lui connait aujourd’hui a été revu par Charles Seeberger, en 1897. On lui doit aussi le nom Escalator, contraction de scala (qui signifie « degré d’escalier ») et elevator (ascenseur) qui était déjà inventé.

(…)

Le terme « Escalator » étant une marque déposée par Otis, devrait en toute rigueur prendre une majuscule, mais il est maintenant passé dans la langue courante, surtout dans les pays anglo-saxons.

(https://bases-marques.inpi.fr/Typo3_INPI_Marques/marques_fiche_resultats.html?index=13&refId=1445817_201734_fmark&y=1565)