Détours & des tours
#CopyrightMadness : meilleure rubrique du web
Si tu ne connais pas encore la rubrique #CopyrightMadness de numerama, je t’invite a combler ce manque dès aujourd’hui.
Toujours croustillantes à souhait; je ne me vois évidemment pas me servir de toutes ces infos de derrière les fagots pour les resservir simplement réchauffées sur Lpp.
Clichés d’hier et d’aujourd’hui
Sur le site de l’ign, https://remonterletemps.ign.fr, tu peux comparer des plans d’aujourd’hui avec de vieilles cartes (peu de choix pour le moment mais c’est quand même marrant).
Besançon
Marseille
Il est même possible de télécharger gratuitement les cartes correspondantes… cependant, bon courage pour les visualiser en local, car même si le tuto explique qu’il suffit d’avoir “Honey View” (pour Windows) pour ouvrir les fichiers, la réalité fait qu’il faut également une sacré bécane… en tout cas chez moi l’ordi souffre beaucoup ! Près de 4 minutes pour ouvrir le fichier ( environ 100 Mo) !
…et c’est pas très stable…
Google map vs Open StreetMap
OpenStreetMap est bâti par une communauté de cartographes bénévoles qui contribuent et maintiennent les données des routes, sentiers, cafés, stations ferroviaires et bien plus encore, partout dans le monde.
http://www.openstreetmap.org
https://www.google.fr/maps
Paris, Jardin des plantes
Ile de Nantes
Mangez des petits pois !
Aujoud’hui, 16 Mai c’est la Saint-Honoré et Lpp ne pouvait pas passé à côté du dicton du jour:
A Saint-Honoré, que de pois verts !
Alors un pois vert, c’est quoi ? Tout bonnement un petit pois:
Les pois frais ont été appelés en premier « pois verts », par opposition à « pois secs », puis est apparue la forme « petit pois », motivée, entre autres, par le fait que « pois » désignait autrefois aussi dans certaines régions de France les haricots.
Et c’est en effet, la pleine saison:
Petite anecdote historique du petit pois:
La consommation du petit pois (grain vert frais) s’est développée en France à l’époque de Louis XIV. C’est le 18 janvier 1660 que le sieur Audiger (ou Audiguier), officier de bouche de la comtesse de Soissons, présenta à la cour du roi Louis XIV, des pois verts en gousse rapportés d’Italie. Ils furent écossés et préparés à la française pour le roi, la reine et le cardinal et ce fut le départ d’une mode qui fit fureur à la Cour, flattée par la précocité du produit. Madame de Sévigné écrira plus tard, en mai 1696 :
« Le chapitre des pois dure toujours : l’impatience d’en manger, le plaisir d’en avoir mangé, et la joie d’en manger encore, sont les trois points que nos princes traitent depuis quatre jours. Il y a des dames qui après avoir soupé avec le roi, et bien soupé, trouvent des pois chez elles pour manger avant de se coucher, au risque d’une indigestion : c’est une mode, une fureur, et l’une suit l’autre. »