Arts littéraires

Ma Saint Valentin

Extrait 1: où l'on en apprend un peu sur Valentin

L'année chrétienne - Nicolas Le Tourneux - 1711
Saint Valentin prêtre et martyr. Saint Valentin prêtre de l'église Romaine, ayant été pris et amené devant l'empereur, confessa généreusement le Foi de Jésus-Christ, pour laquelle il fut chargé de chaînes et mis entre les mais  Astère, un Officier du Préfet ou Gouverneur de Rome. cet Astère avait une fille adoptive qui était aveugle. Saint Valentin lui rendit la vue et par miracle dissipa l'aveuglement spirituel du père et de près de quarante six personne de sa famille. Saint Marius avec sa femme et ses enfants passèrent un mois avec Astère et Saint Valentin, au bout duquel temps ils furent tous pris. Astère fut envoyé à Ostie où il souffrit plusieurs tourments et reçu la couronne du martyre. Saint Valentin demeura à Rome où im fut battu cruellement avec des bâtons et enfin décapité le 14 Février sous l'Empire de Claude II félon des Martyrologues, c'est-à-dire vers 269.
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Pourquoi y a-t-il un “g” dans le mot vingt ?

Spéciale dédicace à Anatole

La réponse est bien entendue étymologique  mais pas que.

En effet, pour trouver étymologiquement un “g” dans le 20 latin, il faut aller jusqu’à la période classique avec un  “vīgĭnti”; c’est-à-dire entre le 1er siècle av. J.-C et le 1er s ap. J.-C).

En bas latin (2 ème  siècle; 8 ème siècle), le “g” a disparu et 20 s’écrit donc en lettre “vīnti”.

Différentes langues issues du latin écrivent un 20 issus du bas latin:

Catalan : vint
Espagnol : veinte
Italien : venti
Occitan : vint
Portugais : vinte

Et c’est d’ailleurs avec un 20 sans “g” que les français comptaient au Moyen Âge.

C’est à la Renaissance que tout bascule: le doigt, le corps, le temps, le sept, le vingt, la paix… …continuer la lecture de Pourquoi y a-t-il un “g” dans le mot vingt ?

L’impesanteur

Le terme impesanteur se compose de la racine d’origine latine pesanteur précédée du suffixe privatif latin in-. En français courant, ce mot est toutefois beaucoup moins employé que le terme apesanteur, qui utilise le préfixe privatif grec a-. Deux arguments préconisent cependant de préférer le terme impesanteur. Linguistiquement d’abord, le terme apesanteur est une chimère puisqu’il combine une racine latine (pesanteur) avec un préfixe grec (a-). De ce point de vue, l’usage du préfixe latin in-, équivalent au grec a-, est préférable pour se combiner avec une racine de même origine. À l’usage ensuite, c’est surtout la confusion orale possible entre « l’apesanteur » et « la pesanteur » qui a conduit à préconiser le terme impesanteur en lieu et place. Le dictionnaire de l’Académie française constate cependant que le terme ne s’est pas imposé et ne le référence donc pas, mais il est officiellement préconisé par l’arrêté du 20 février 1995 relatif à la terminologie des sciences et techniques spatiales en notant que « le terme apesanteur est déconseillé pour éviter, dans le langage parlé, une confusion entre l’apesanteur et la pesanteur ».

https://fr.wikipedia.org/wiki/Impesanteur

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